29 janvier, 2008

Mais bien sûr qu'il a agit seul!




Rien ni personne n'est donc venu mettre fin à ses méthodes. "En juillet 2007, j'ai suggéré de parier sur l'évolution du marché boursier à la baisse, il [mon supérieur] n'a pas voulu. Quand il s'est avéré que mon pari était gagnant, générateur de cash, j'avais pris malgré tout une position sous le regard complaisant ou à tout le moins non contesté de mon N+1 [responsable hiérarchique] qui a assisté à l'enregistrement de ma transaction. Ils m'ont incité à prendre une position régulièrement. L'opération s'étant révélée fructueuse, elle devenait de ce fait autorisée, voire appuyée par la hiérarchie. Chaque jour par la suite il a fallu se positionner. Même pendant mes vacances, mon manager m'appelait pour me demander quelle position prendre. L'incitation à se positionner était à son maximum."

M. Kerviel va même jusqu'à utiliser les ordinateurs de ses collègues, avec leur assentiment, jure-t-il. "Sur le second semestre, j'ai généré des cash comme jamais je ne l'ai fait. En novembre 2007, voyant que c'était juteux, j'ai également pris des positions à partir d'autres automates de collègues en même temps et ce au vu et au su de tous. Sur cette seule journée, j'ai dégagé un résultat de 600 000 euros. Mon manager a alors voulu connaître les raisons de mes choix d'investissement. Je me refuse à donner les raisons économiques dans la mesure où cela revenait à leur signer un chèque en blanc. Je ne peux croire que ma hiérarchie n'avait pas conscience des montants que j'engageais, il est impossible de générer de tels profits avec de petites positions. Ce qui m'amène à dire que lorsque je suis en positif ma hiérarchie ferme les yeux sur les modalités et les volumes engagés. Au titre d'une activité normale, un trader ne peut générer autant de cash."

Société Générale. Encore un petit coup de pouce ?

Société Générale. Encore un petit coup de pouce ?
Vidéo envoyée par gueulante

24 janvier, 2008

Mai 68

Pour ceux qui auraient louppé l'émission de hier soir, voici en toute illégalité quatre extraits:







Expression Crew

Expression Crew - Wizard
Vidéo envoyée par atakan5

Effarant!

22 janvier, 2008

L'opposition kényane porte plainte auprès de la Cour pénale internationale pour crime contre l'humanité




A La Haye, la CPI est inondée de telles demandes de poursuites venant de différents pays, qui restent sans suites. La Cour a même arrêté d'en donner le décompte. Le dernier chiffre publié, en janvier 2006, est de 1 732 demandes provenant de 103 pays.

16 janvier, 2008

Erika

Petit regroupements d'articles en attendant le jugement du procès "Erika" qui sera aujourd'hui rendu. La décision la plus attendue est celle concernant un "préjudice écologique" qui donnera le point de vue de la Justice française sur la question du Pollueur-payeur.
Peut-être pourra-t-on espérer une réponse politique, législative et financière sur ce principe...




« Erika » : jugement dans sept mois, avec des enjeux juridiques et financiers exceptionnels

UN PRÉSIDENT la voix nouée par l'émotion prononçant une dernière fois « l'audience est levée », des prévenus faisant l'accolade aux avocats de la partie civile, les conseils de la défense saluant chaleureusement le procureur, les robes noires défilant pour serrer la main des membres du tribunal : le procès de l' Erika s'est achevé en effusions, mercredi 13 juin, devant le tribunal correctionnel de Paris.

Quatre mois à se chamailler sur les lisses de pont et les épaisseurs de tôle, à s'invectiver sur les plans d'urgence ou les chartes-parties, à se jeter au visage les expertises et les jurisprudences, à s'écharper à grands coups de « shipping », de « trading », de « mayday » et autres anglicismes ont fini par créer des liens entre les acteurs. Le président Jean-Baptiste Parlos a rappelé « le caractère exceptionnel de ce procès », lourd navire qu'il aura su mener d'abord avec autorité puis, tout risque de mutinerie écarté, avec bonhomie.

Exceptionnel, le jugement du tribunal, qui sera rendu le 16 janvier 2008, le sera également en raison de la nature du dossier : une catastrophe écologique. Les avocats n'ont pas manqué de rappeler aux magistrats que leur décision fera jurisprudence, et peut-être date, notamment en cas de reconnaissance d'un « préjudice écologique » qui n'est pas encore inscrit dans le droit français. Autant et peut-être plus que l'éventuelle condamnation pénale ou relaxe des prévenus, dont la société Total, l'enjeu du délibéré concerne les demandes civiles d'indemnisations exigées par les victimes et avoisinant le milliard d'euros. « Ce déplacement du centre de gravité du procès n'aura pas échappé au tribunal », a assuré le président Parlos.

Reste que quatre mois au long cours n'ont pas permis de trancher formellement sur les causes du naufrage du pétrolier, le 12 décembre 1999, au large de la Bretagne. Les 49 experts convoqués à la barre par les différentes parties, chacun présentant son explication, ont provoqué l'effet recherché : embrouiller les responsabilités. Les 160 volumes du dossier, truffés d'équations contradictoires sur la résistance des métaux, ne seront pas d'un plus grand secours.

La défense s'est engouffrée dans ce maquis de chiffres et d'hypothèses. Me Olivier Metzner, avocat de la Rina, la société de classification de l' Erika, a relevé l' « absence de certitudes », de « vérités techniques ». « Qu'a-t-on ? Une colère, c'est vrai, des Bretons et des professionnels qui ont vu leurs côtes souillées. Mais est-ce que cette colère induit une faute pénale ? » « Pourquoi l'Erika a coulé ? Sans certitudes, comment entrer en voie de condamnation ? a demandé Me Pierre-Olivier Sur, avocat de Giuseppe Savarese, l'armateur italien. On dit la rouille, la rouille, la rouille, comme, dans Le Malade imaginaire, on disait le poumon, le poumon, le poumon. Mais le navire bénéficiait de tous ses certificats. » « Rien n'est démontré en matière de causalité directe », a également souligné Me Vincent Asselineau, avocat d'Antonio Pollara, le gestionnaire du navire. Tous les prévenus ont demandé la relaxe.



Erika : les sanctions pénales requises présentées comme "dérisoires" au regard du préjudice écologique

Les procureurs ont réclamé lundi 4 juin 2007 des peines maximales à l'encontre de Total, du propriétaire et du gestionnaire du pétrolier "Erika". Soulignant le "décalage" entre la gravité des faits reprochés et leur sanction pénale, le ministère public a invité le tribunal à reconnaître le "préjudice écologique" sollicité par les parties civiles.



Avant de présenter leurs réquisitions, lundi 4 juin, les procureurs Marjorie Obadia et Laurent Michel se sont presque excusés de l'impuissance répressive du ministère public. Si "la réprobation sociale se mesure à la hauteur des peines prononcées", a souligné Mme Obadia, celles encourues par les prévenus au procès de l'Erika ne peuvent paraître que "dérisoires" au regard de l'ampleur de la catastrophe écologique qu'a représenté, en décembre 1999, le naufrage du pétrolier au large des côtes bretonnes.

L'enjeu de ces trois mois d'audience ne saurait donc se résumer aux peines demandées : pour le délit de "pollution par imprudence et négligence", 375 000 euros d'amende contre les sociétés du groupe Total et la société italienne de classification des navires, RINA; 75 000 euros d'amende contre l'armateur Giuseppe Savarese et le gestionnaire du navire Antonio Pollara, soit le maximum prévu par la loi au moment des faits, et 10 000 euros d'amende contre le capitaine indien Karun Mathur. Pour le délit de "mise en danger de la vie d'autrui" retenu contre MM. Savarese et Pollara, les procureurs ont requis un an d'emprisonnement avec sursis.

Ce "décalage" entre la gravité des faits reprochés et leur sanction pénale a conduit le ministère public à faire une incursion exceptionnelle hors de son champ de compétence, en invitant le tribunal à "faire œuvre de jurisprudence tant au pénal que sur l'action civile", c'est-à-dire à reconnaître pour la première fois le "préjudice écologique" sollicité par les parties civiles –les régions et les communes du littoral touchées par la pollution pétrolière –et évalué par elles à 1 milliard d'euros.

Mais la première étape de ce processus judiciaire est celle de la responsabilité pénale des prévenus, que se sont attachés à démontrer les deux procureurs. Il leur fallait pour cela remonter à "la cause essentielle" du naufrage qui, selon M. Michel, tient à "la corrosion structurelle manifeste, évidente et généralisée" du navire pétrolier.

"L'ÉCONOMIE AU DÉTRIMENT DE LA SÉCURITÉ"

A l'armateur et au gestionnaire de l'Erika, le procureur a reproché une "imprudence" et une "désinvolture sérieuse" dans l'entretien du bâtiment, qui les a notamment conduits à réduire "de trois à un" le montant des réparations nécessaires lors de l'arrêt de l'Erika sur le chantier de Bijela (Monténégro) à l'été 1998. "A chaque fois, on a choisi l'économie au détriment de la sécurité. Cette désinvolture, vous la sanctionnerez!", a-t-il lancé au tribunal.

La même légèreté a été reprochée à la société italienne de classification du navire, RINA qui, selon le ministère public, n'a pas su distinguer entre la mission de contrôle qui lui incombait et l'intérêt commercial de son client. "Il y a du ménage à faire dans ces sociétés. Les petits services au client, ça peut se rendre dans le petit commerce, mais pas lorsqu'on est une société de classification!", a observé le procureur.

Quant au capitaine indien Karun Mathur, qui ne s'est jamais présenté à l'audience, il a eu droit lui aussi, à sa volée de critiques. "C'est une saine réaction des marchés que d'avoir écarté le capitaine Mathur. Lorsqu'on se comporte comme lui, on ne mérite pas d'être commandant de navire", a dit M. Michel.
Mais, c'est évidemment sur la responsabilité pénale de Total que le ministère public était le plus attendu. Reprenant l'historique du "vetting", cette procédure de contrôle technique et d'évaluation des navires mise en place par les grands affréteurs après les premières catastrophes pétrolières, M. Michel a affirmé : "Le vetting, c'est fait pour conjurer un risque dont on a conscience".

A l'appui de sa démonstration, il a cité la longue liste des instructions au voyage de Total qui, selon lui, "exigeait une coordination avec le bord, donc un contrôle permanent". "On ne peut pas dire aux uns, ne me réglementez pas, parce que je suis responsable et dire ensuite aux autres, je suis irresponsable, donc je suis libre. La liberté absolue et irresponsable, dans notre monde, ça n'existe pas!", a observé le procureur, en pointant la "faculté contributive" de Total, "premier groupe industriel d'Europe continentale". "A tout seigneur, tout honneur", a conclu le procureur.

15 janvier, 2008

Du Droit d'ingérence humanitaire

Droit d'ingérence humanitaire:
Droit international public

"Contrairement au principe de non-ingérence dans les affaires intérieures d'un Etat, corollaire de la souveraineté, affirmé pas la charte des Nations unies, ce droit vise à permettre une action internationale quand un peuple serait gravement menacé dans sa survie même
Invoqué pour la première fois en 1992 afin de justifier l'intervention de l'ONU dans l'ex-Yougoslavie et en Somalie."

C'est en regardant un débat électrique en direct sur FR3 ce soir que je suis tombé sur le sujet du Droit d'ingérence humanitaire, plus particulièrement actuellement invoqué au Darfour (cf: Arche de Zoé par exemple).
Selon un participant, Rony Braumant, ex-président de Médecins Sans Frontières, c'est un droit...de non-peine. Un droit qui permetrait de surmonter une action pénalement répréhensible!
Mais il faut que la cause soit légitime.
Que soit en danger le peuple du Darfour, là n'est pas la question, un rapport de l'ONU vient de tomber et personne ne nie les faits.
Le débat se pose lorsqu'on parle de "Génocide" (qui était la situation au Rwanda, mais qui n'est pas parfaitement la situation du Darfour car c'est une suite complexe d'évènements, et des Darfouriens font parties de certaines milices, de l'armée, les populations Darfouriennes ne sont pas persécutées dans les villes, etc.).

Mais on a différents problèmes, inhérents à l'affaire de l'Arche de Zoé.

Un jour, cette contestation du néo-colonialisme contre la France (propos exagérés et fantamagoriques du président Thcadien parlant de "trafic d'organes" et de "pédophilie" quant aux buts de l'Association dite "à vocation humanitaire") devait arriver. Mais pourquoi au Tchad??? Je vous le demande.
Un fameux écrivain afrincain a répondu: le Tchad est le pays où l'armée française est la plus implantée.
Confrontation d'intérêts, surenchère de notre Superprésident voulant bafouer la souveraineté de l'Etat du Tchad, contournement du problème, amplifications par des débiles comme BHL, Kouchner et autres Associations américaines appelant à des dons jamais redistribués... Joli tableau.

Mais c'est ce tout qui a poussé des âmes disons "crédules" et pour le moins stupides à faire ce genre de choses. Voulant mettre la main à la tâche, voulant informer l'Occident en jettant la première pierre, pardon, posant la première pierre, les membres de l'Arche étaient sûrement de bonne foi.
Ce qui ne pardonne pas leur acte hein (les enfants n'étaient pas du Darfour et leur action était illégale).

C'est aussi dans la lignée d'une contestation contre les Etats-Unis et l'Occident, mais pour ça il faudrait refaire un retour en arrière de 60 ans et mettre en relation la néo-colonisation et les phénomènes actuels de rejets.
Je vous laisse bûcher...

12 janvier, 2008

Fléxisécurité : le Medef satisfait, accueil mitigé chez les syndicats




Bien joué Laurence... <_<

10 janvier, 2008

Quelle Europe pour la Paix?

Quelle Europe pour la Paix ?

Par Monique Chemillier-Gendreau,Professeure émérite de droit international à l'université Paris VII

C'était Mercredi 9 janvier à 20h30 Faculté des Lettres et Sciences Sociales "Victor Ségalen"

Résumé:

Il est urgent que le citoyen se réapproprie les enjeux fondamentaux de la paix, de la sécurité et de la défense qui nous concernent au même titre que notre système de santé ou l'éducation de la jeunesse.L'Europe représente à cet égard un grand espoir de Paix pour les peuples. Comme l’écrit Monique Chemillier-Gendreau “l'abolition de la peine de mort, clé d'entrée dans l'Europe, donne un indicateur fort d'une dimension désormais commune, celle du respect de la vie et de l'élimination de la violence entre les États membres.Ces deux éléments pourraient laisser croire à la construction d'une communauté politique d'un genre nouveau. Il s'agit malheureusement d'un trompe l'oeil. La mort que l'Europe semble épargner à ses habitants, elle l'exporte ailleurs sans états d'âme... Les industries d'armement européennes, florissantes, nourrissent l'exportation des armes qui alimentent elles-mêmes des conflits ailleurs.”Il s'agit donc de débattre du type d'Europe que nous voulons, une Europe puissance militaire, à l'instar des États-Unis, ou une Europe qui pèserait pour d'autres relations au niveau mondial, fondées sur la paix et la justice.Il est urgent de conduire cette réflexion, car nos dirigeants s'apprêtent à le trancher sans demander son avis au peuple. En effet, le Traité Modificatif Européen qui sera bientôt soumis aux seules Assemblées reprend mot pour mot, à quelques virgules près, le texte du Traité Constitutionnel que les électeurs ont rejeté en 2005 : soumission à l'OTAN et militarisation accrue ; seul l'article sur le recours à la consultation du parlement européen est supprimé.


C'est pendant 2h15 de conférence-débat que Monique Chemillier-Gendreau a dressé un tableau peu glorieux de la situation. Elle confiait elle-même son pessimisme quant à la tournure des choses, par rapport à l'Iran, au nucléaire, au Pakistan, à la France. Mais c'est un pessimisme relatif puisque constructif (un peu dans le sens où lorsque le Parlement allemand souhaite dissoudre le Gouvernement, il doit faire une dissolution constructive: sous condition de soutenir le prochain Gouvernement. Là c'est complètement la même chose, la professeure ne se contente pas d'exposer les faits, elle les analyse et propose bien des solutions, même si parfois bien utopiques :) ).
Alors on pourra dire ce qu'on veut, mais il n'est pas difficile de remarquer que par exemple en France, les médias sont dirigés par de grands groupes d'armement. Les contrats internationaux avec la France sont (presque) exclusivement des contrats d'armement.
OR
S'il y a bien une phrase à retenir de la conférence, c'est bien celle-ci:
En matière de sécurité, les armes ne sont pas la solution. Elles sont le problème.
Simple. Mais ça en dit long.
Monique Chemillier-Gendreau nous montre une formidable tragicomédie. Grotesque et grave, voyez? Genre je vous pose la situation.

En Europe, il existe un organe extrêmement démocratique, juste, relativement efficace, et qui a la force d'imposer la Paix. C'est la Cour Européenne de Justice.
Bon je vous passerai la critique sur l'ONU qui souhaitait imposer aux Etats le fait d'interdire la guerre (interdire la premiere fonction régalienne à un Etat, c'est toucher directement à sa souveraineté, d'où la profonde ignorance des articles de la Charte de l'ONU portant sur la paix, toussa, plus de précisions dans les travaux de la juriste). Mais la CEE puis UE s'est fondé sur des accords économiques, et l'état de Paix durable et qui nous paraît aujourd'hui bien ancré, est effectif au sein de l'UE.
Paix et Justice doivent nécessairement aller ensemble, d'où toutes les institutions européennes. Malgré leurs grandes influences technocrates, bureaucrates, malgré le fait que c'est sur la base du volontariat qu'un Etat peut se retrouver devant la Cour Européenne de Justice (Justice limitée mais bien là), on peut assurer la Paix sans altérer la souveraineté étatique. Et c'est ça qui est intéressant.

Il y a bien des choses qui, pour nous, européens, sont parfaitement concordants avec nos valeurs. C'est un très beau début en tout cas.
Mais dans les faits, c'est tout autre chose.
Ce que l'on défend à l'intérieur de l'Europe, la paix que nous préservons au sein de l'UE, nous l'exportons dans le monde.
Les armes ne sont pas faites pour être stockées.
Alros il faudra bien les utiliser.
Contrats.

...

Et les valeurs?

...

Et l'avis du citoyen éclairé?

...

Et comment éclairer les citoyens?

...

Enfin c't'un débat long et complexe, mais qui se doit d'être abordé.
Je suis pas fan fan de la sécurité, toussa. Mais pour Monique Chemillier-Gendreau, l'Université européenne pour la Paix, et bien d'autres, les questions de sécurité doivent revenir au peuple libre, éclairé et informé.
C'est à nous de décider comment nous nous protégerons. Et avec qui, toussa...

Si vous voulez plus de précisions sur la conférence, ou sur le mouvement qui se crée autour de la Défense commune en Europe, je serai ravis de vous dresser un tableau plus structuré et de vous diriger vers des personnes très compétentes parce que je vous avouerai que j'ai la grosse flemmasse de parler.

Bises




Un tournant dans la vision du Droit, de la démocratie et de la vie en société.
La visée carrément démagogique de la loi complète le tableau.
Affligeant.

02 janvier, 2008

78-2008

La famille de l'année 2008!



Une nouvelle petite cousine qui a déjà la méga classe (presse, photographes, fans hystériques scandant son prénom...):
Cliquez ici pour voir la belle étoile montante du cinéma français

J'ai pas encore trouvé l'article en ligne du journal Sud-Ouest mais ça ne devrait pas tarder...

Encore toutes nos félicitation Marie et Franck, que ça continue aussi bien que ça a commencé.