24 décembre, 2007

Petition contre le monoxyde de dihydrogène

Le monoxyde de dihydrogène est sans couleur, sans odeur et sans goût. Il tue des milliers et des milliers de personnes chaque année. La plupart de ces décès sont dus à l’inhalation accidentelle de DHMO, mais ses dangers ne s’arrêtent pas là. Un contact prolongé à sa forme solide peut causer de sévères dommages corporels.
Les symptômes de l’ingestion de DHMO sont :
* Une transpiration importante et une quantité et un rejet d’urine anormal.
* Une sensation de ballonnement, nausées et vomissements.
* Un déséquilibre ionique important dans les tissus.

Pour ceux qui sont devenus dépendants, le sevrage entraîne la mort dans 100 % des cas.

Le monoxyde de dihydrogène :
* Est le composant le plus important des pluies acides.
* Contribue à l’effet de serre.
* Peut causer des brûlures graves.
* Contribue à l’érosion des sols et des paysages.
* Accélère la corrosion et la rouille de beaucoup de métaux.
* Cause des défaillances électriques et diminue l’efficacité des freins automobiles.
* A été trouvé dans les tumeurs cancéreuses de patients en phase terminale.

La contamination atteint des seuils épidémiques !

Le monoxyde de dihydrogène se trouve actuellement dans pratiquement tous les cours d’eau, lacs et réservoir d’Europe et a même été trouvé dans les glaces de l’antarctique. La pollution est mondiale. Le DHMO a causé des millions d’euros de dégâts dans le monde entier.

Malgré le danger représenté par ce produit, il est encore utilisé largement :
* Comme solvant et diluant industriel.
* Dans les centrales nucléaires.
* Dans la fabrication du polystyrène.
* Comme retardant de feu dans les extincteurs.
* Dans les recherches sur animaux.
* Dans la distribution des pesticides.
* Comme additif dans les fast-foods et autre produits alimentaires.

L’industrie rejette d’énormes quantités de DHMO dans les rivières et les océans, et rien ne peut être fait car cette pratique est encore « LEGALE ». L’impact sur la faune est extrême et nous ne pouvons plus l’ignorer !

Les différents gouvernements (dont bien sûr le gouvernement américain) ont refusé de bannir la production, la distribution ou l’utilisation de ce produit chimique dangereux en raison de « la santé économique des nations ». En fait différentes organisations militaires de part le monde mènent des expériences à base de DHMO, et créent des dispositifs de plusieurs millions d’euros pour contrôler et utiliser le monoxyde de dihydrogène en cas de guerre.

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Voilà, je suis tombé par hasard un jour sur cette pétition dans un marché de Noël lambda... j'ai frolé la crise cardiaque étant donné qu'elle demande l'interdiction de...l'eau ^^, cette pétition avait récolté plusieurs milliers de signatures....

voilà petit exemple débile de ce que les gens peuvent signer ^^


Petit lien...

19 décembre, 2007

Avez vous déjà vu un crime pas parfait du tout

Avez vous déjà vu un crime pas parfait du tout
Vidéo envoyée par Canislupus10

Avez-vous déjà vu ? : "Un crime pas parfait du tout"


Avez-vous déjà vu sur :

http://avez-vous-deja-vu.over-blog.com/

L'hymne nationale soviétique enfin décryptée!



Le lien ici

16 décembre, 2007

Dans l'espace avec KitKat

Nestlé fait gagner des voyages dans l'espace!!!

Avec ce concours, c'est mon régime qui va en prendre un coup...

13 décembre, 2007

Dans le coup


Pris dans les rues de Bruxelles...

Le Traité simplifié va être ratifié... on dit que c'est la "Constitution de l'Europe"
C'est des conneries.
Pour qu'il y ait une Constitution, il faut un Etat.
Pour autant que je sache, l'Europe n'est pas encore un Etat.
Pour qu'il y ait un Etat, il faut une Nation.
J'attend encore la Nation européenne.
Va être voté, pardon, imposé, 98% du texte qui a été refusé en 2005 par ces bougres de cons de fromages qui puent. Et ces troufions de Hollandais.
A ce qui paraît, les 2% de texte en moins suffiraient à nommer ce Traité (car c'est un contrat entre pays) de super avancée pour l'Europe, qui ferait fléchir les eurosceptiques, tout ce qu'il y a de plus beau dans l'histoire de l'Europe
Enfin... on fait passer le texte de 2005 en force avec pas mal de paillettes et de strass.

Youpi l'Europe.

12 décembre, 2007

La 'plomatie, les valeurs et les contrats




Petite leçon de Realpolitik...

11 décembre, 2007

Ca se passe comme ça chez Mc Donald's

Ca se passe comme ça chez Mc Donald's
Vidéo envoyée par nqtv




Apparemment, le grand Grenelle de l'Environnement de Nicolas Bonaparte n'est pas du même avis...
Le nucléaire, c'est l'écologie, une énergie durable et respectueuse de l'environnement... évidemment...

09 décembre, 2007

Je suis tombé dessus par hasard...
Voici un torchon, un papier Q, un essuie-merde électronique.
J'ose à peine vous filer le lien tellement c'est nauséabond.

Allez... J'me lance.



Beurk
Une sous partie encore plus gerbante

Lettre ouverte

Un "collectif de jeunes de Villiers-le-Bel et Sarcelles" a écrit dans une lettre ouverte au président de la République que "les voyous sont celles et ceux qui ont géré les banlieues avec le succès qu’on constate", et pas les habitants des banlieues.

Cette lettre est une réponse à Nicolas Sarkozy qui avait affirmé que les violences urbaines ayant éclaté à Villiers-le-Bel (Val d’Oise) après la mort de deux adolescents dans une collision avec une voiture de police n’avaient "rien à voir avec une crise sociale" mais "tout à voir avec la voyoucratie" (sic).




Collectif des Jeunes de Sarcelles et Villiers-le-bel LETTRE OUVERTE AU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE

Quand en Corse cela explose quasiment chaque soir et que des gendarmeries sont mitraillés régulièrement, vous n’osez pas parler de voyoucratie.

Quand, des dizaines d’hommes et de femmes encagoulés et équipés d’armes de guerre, défient l’Etat tout entier, vous vous gardez bien de faire le moindre commentaire, et mieux encore, vous négociez avec eux.

Quand les marins-pecheurs brûlent dans leur région des bateaux et des pneus, quand les pompiers chargent les CRS pendant une manifestation, quand les chasseurs saccagent un ministère de la République, il n’est question ni de voyou, ni de bande, ni d’intégration.

Nous avons condamné sans ambiguïté l’usage de la violence sur les personnes comme sur les biens.

OUI nous avons voulu, au-delà de la douleur des familles et de la perte tragique des enfants, faire entendre nos voix une fois de plus pour vous alarmer sur les conditions de vie dans nos quartiers.

Et comment faire autrement ? Puisque les promesses électorales et les centaines de forums qui ont suivi la mort de Zyed et Bouna à Clichy-sous-bois n’auront même pas suffit à vous faire bouger.

Mais s’il vous est toujours plus commode de vouloir monter nos concitoyens entre eux en nous faisant passer pour les sauvageons de la République, sachez que vous prenez le risque de jeter le discrédit sur tous les habitants de ces quartiers et de renforcer par vos déclarations les discriminations dont nous sommes victimes.

Les voyous monsieur le Président, sont celles et ceux qui ont géré les banlieues avec le succès que l’on constate. Les voyous, monsieur le président, sont celles et ceux qui ont toujours refusé de nous considérer comme des enfants de France, de faire venir dans nos quartiers les meilleurs professeurs, de mettre plus de policiers dans nos villes qu’à Paris.

Puisque le durcissement des peines est à la mode, nous vous suggérons de vous pencher sur les entreprises, les bailleurs ou les partis politiques qui ne respectent pas le principe d’égalité de notre République.

Quant à nous, nous assumerons désormais nos choix en construisant nous même l’avenir de nos quartiers sans plus rien attendre de plans de banlieues jusque là tous imaginaires.

06 décembre, 2007

People are Strange...

PEOPLE ARE STRANGE
Vidéo envoyée par nqtv

Boum

Dépêche de dernière minute:
deux colis piégés au 52 boulevard Malesherbes à Paris: immeuble vié, un cabinet d'avocat... qui n'est qu'autre que celui de Nicolas Sarkozy.
Oups!

Edith: l'ancien cabinet, l'ancien... P'tetre un lien avec le Président?
A suivre...

Re-Edith: Mr Bruno Julliard, ancien Président de l'UNEF qui a démissionné pour des "raisons personnelles" se retrouve sur les listes de la mairie de Paris...
Re- Oups.

C'est bien France Info...

05 décembre, 2007

Science Po, Lagardère et le Rap




A pleurer de rire. Des sportifs de haut-niveau sous l'aile de Nono rentrent à Science-Po (je vous épargne les détails, c'est sur l'article).
Et là, on a une réaction du papa de Richard Gasquet (number one français):
"J'avais décelé un vide, chez Richard, qui avait arrêté ses études. Un jour, je l'ai entendu écouter un morceau de rap, alors on s'est dit qu'il fallait faire quelque chose."


Comme dirait un lecteur: Au secours ! J'écoute du Rap; Lagardère, faites quelque chose avant que mon âme y passe !

01 décembre, 2007

Les vrais-faux barbelés de la fac Rennes-II (excuses inside)




Une coupe malencontreuse dans l'article "Les AG d'étudiants se méfient des médias", publié dans la "Fabrique de l'info" du Monde daté 18-19 novembre, a laissé croire qu'un fil de fer barbelé avait été déroulé à l'université Rennes-II pour délimiter un espace réservé à la presse, lors de la réunion de la coordination étudiante contre la loi Pécresse, le week-end des 10 et 11 novembre.

[ Petit rappel:



Un espace de quelques mètres carrés délimité par du fil de fer barbelé, dessiné au feutre noir sur le sol : c'est là que la coordination étudiante contre la loi Pécresse sur l'autonomie des universités entendait "parquer" la presse, venue couvrir la réunion qu'elle organisait, dimanche 11 novembre, à l'université Rennes-II.

Tagué sur un mur, un dessin de pendu, barré du sigle de l'AFP. Deux symboles qui illustrent l'ambiance "très tendue", selon les journalistes, dans laquelle ils travaillent à la faculté rennaise de sciences sociales et de sciences humaines, depuis le début du mouvement étudiant.
]


Ce périmètre, figurant un fil de fer barbelé, avait en fait été dessiné sur le sol au feutre noir, précision qui manquait dans le texte publié (et rétablie dès le lundi 19 novembre dans l'édition disponible en ligne sur notre site Internet). L'article faisait également référence à un dessin de pendu barré du sigle de l'AFP, tracé sur un mur de l'université. Ces deux signes étaient présentés, dans l'article, comme des "symboles" illustrant "l'ambiance "très tendue", selon les journalistes, dans laquelle ils travaillent à la faculté rennaise de sciences sociales et de sciences humaines".

Cette coupe, qui a eu pour conséquence de livrer aux lecteurs une information fausse, a suscité une vague de commentaires sur Internet. Dès sa mise en ligne sur le site du quotidien, samedi en fin de matinée, des internautes se sont étonnés du récit fait par Le Monde, qui ne correspondait pas à ce qu'ils avaient lu ailleurs. Des étudiants ont envoyé des mails ou ont téléphoné à l'auteur de l'enquête pour protester contre cette manière "biaisée" et "malhonnête" de rendre compte des faits.

Samedi 17 novembre, Daniel Schneidermann, qui, sur son site arretsurimages.net, décrypte les médias, s'est emparé de cette erreur pour écrire une chronique titrée : " Le Monde, Pinocchio et les barbelés de Rennes-II". "Bigre ! Des barbelés ! Mais que fait donc Reporters sans frontières ?, ironise le chroniqueur. J'espère que je n'ai pas besoin de vous faire un dessin sur la différence entre des barbelés et un dessin de barbelés. Un dessin de barbelés, c'est une plaisanterie. De très mauvais goût, et même totalement nulle, mais une plaisanterie. Mais il faut croire qu'il plaît à certains journalistes, en ce moment, de se fantasmer en victimes des Khmers rouges étudiants." Cette chronique a été abondamment commentée sur Internet.

Une journaliste de l'émission "Revu et corrigé", présentée sur France 5 par Paul Amar qui observe, chaque samedi, la façon dont les médias présentent l'actualité, a appelé l'auteur de l'article pour avoir des éclaircissements sur cette présentation erronée des faits.

Il est regrettable que cette erreur ait été commise dans un article consacré aux phénomènes de défiance des étudiants vis-à-vis des médias, accusés de ne pas rendre compte de manière objective du mouvement de protestation contre la loi sur l'autonomie des universités. Et ce d'autant plus dans un contexte général de méfiance de l'opinion envers les médias, soupçonnés d'entretenir des liens ambigus avec le pouvoir.

Pauvres petits journalistes